On parle alors de la représentation, me semble-t-il. L'esprit se représente le monde.
Le pain, ou quoi que ce soit d'autre dans le monde, et même le monde, existe dans la représentation que nous nous en faisons. La naissance du monde, le big bang, est aussi une représentation. De cela j'en suis à peu près convaincu. Et même, penser que le monde existerait sans soi, est une nouvelle image, une nouvelle représentation : on s'imagine sans le monde, en dehors de lui. J'en tire une autre conviction, c'est que le néant n'existe pas.
Car sans notre esprit, l'image que l'esprit se fait du monde, qu'est-ce que serait le monde ? Certainement pas l'idée que nous nous en faisons et les images que nous tirons de ces idées, celles qui permettent justement, entre autres choses (toutes les autres "choses") de parler de "matière".
Donc, il me semble, à cause de cela, que l'un ne va pas sans l'autre, que la matière ne va pas sans l'esprit.
Les matérialistes oublient, selon moi, la dimension de l'esprit, et les conclusions qu'ils tirent sur l'esprit ne sont que les projections de ce que leur enseigne l'observation de la matière.
Et donc l'idée qu'ils se font de la mort est déduite précisément de cela.
Le pain, ou quoi que ce soit d'autre dans le monde, et même le monde, existe dans la représentation que nous nous en faisons. La naissance du monde, le big bang, est aussi une représentation. De cela j'en suis à peu près convaincu. Et même, penser que le monde existerait sans soi, est une nouvelle image, une nouvelle représentation : on s'imagine sans le monde, en dehors de lui. J'en tire une autre conviction, c'est que le néant n'existe pas.
Car sans notre esprit, l'image que l'esprit se fait du monde, qu'est-ce que serait le monde ? Certainement pas l'idée que nous nous en faisons et les images que nous tirons de ces idées, celles qui permettent justement, entre autres choses (toutes les autres "choses") de parler de "matière".
Donc, il me semble, à cause de cela, que l'un ne va pas sans l'autre, que la matière ne va pas sans l'esprit.
Les matérialistes oublient, selon moi, la dimension de l'esprit, et les conclusions qu'ils tirent sur l'esprit ne sont que les projections de ce que leur enseigne l'observation de la matière.
Et donc l'idée qu'ils se font de la mort est déduite précisément de cela.