D'abord, je remercie le forum et Euterpe qui sont à l'origine de ma lecture de La violence et le sacré de René Girard.
J'y ai trouvé, entre autres, une réponse à mon questionnement sur "le rapport de force" chez les Grecs anciens (cf. le topic : L'agôn chez les Grecs).
A l'occasion, j'aimerais savoir comment a été perçu ce livre, quelle en a été la critique, à l'époque, et ce qu'il en est depuis, sachant que René Girard poursuit une œuvre.
Revenant au sujet du topic, je pose la question suivante :
Y a-t-il un lien culturel entre le rite funéraire et la dynastie ?
Pour ma part, j'y vois une continuité visant à rendre l'homme, sinon immortel, tout au moins inscrit dans la mémoire de ses congénères pour une longue durée, au delà du séjour terrestre. Une façon d'étendre dans le temps son pouvoir.
J'y ai trouvé, entre autres, une réponse à mon questionnement sur "le rapport de force" chez les Grecs anciens (cf. le topic : L'agôn chez les Grecs).
A l'occasion, j'aimerais savoir comment a été perçu ce livre, quelle en a été la critique, à l'époque, et ce qu'il en est depuis, sachant que René Girard poursuit une œuvre.
Revenant au sujet du topic, je pose la question suivante :
Y a-t-il un lien culturel entre le rite funéraire et la dynastie ?
Pour ma part, j'y vois une continuité visant à rendre l'homme, sinon immortel, tout au moins inscrit dans la mémoire de ses congénères pour une longue durée, au delà du séjour terrestre. Une façon d'étendre dans le temps son pouvoir.