La réponse me semblant être dans la question même (comme dans "le bleu n'est-il pas la couleur du ciel ?"), je ne pense pas qu'elle mérite échange...
Je mets la suite, car je trouve cela joli :
Laurent, la fonction "éditer" (en haut à droite des messages que vous avez postés) vous permettra de ne pas publier plusieurs messages à la suite, ce qui alourdit la lecture des discussions. (Zingaro)
Je mets la suite, car je trouve cela joli :
A son tour, l’agrégat logique fait l’objet d’une analyse secondaire permettant de distinguer différentes fleurs auxquelles on donne des noms différents. Chacun de ces noms devient un agrégat logique par processus de synthèse, et fait l’objet d’une autre analyse logique, etc. La langue ne cesse donc de se constituer par cet enchaînement de synthèses et d’analyses qui conduit, comme l’exemple de Linné ici encore convoqué le montre, à une maîtrise de plus en plus affinée du réel. Dès ses premiers pas dans le langage, l’être humain a affaire aux entités fictives. En effet, quand se constitue, par généralisation, un nom commun, c’est-à-dire un agrégat logique, naît aussitôt une entité fictive, puisque ce nom peut désigner aussi bien des entités réelles que des entités imaginaires, qui ont existé ou qui existeront. Pour être plus précis, Bentham affirme qu’il y a homonymie dans tout nom commun de corps puisque c’est le même nom qui, utilisé comme nom propre, peut désigner cette entité singulière qui est actuellement en face de moi, mais qui peut, aussi bien, être employé comme entité fictive ayant le pouvoir d’engendrer des images, des entités réelles psychiques, en l’absence des corps
Laurent, la fonction "éditer" (en haut à droite des messages que vous avez postés) vous permettra de ne pas publier plusieurs messages à la suite, ce qui alourdit la lecture des discussions. (Zingaro)