D'une part la connaissance des essences comme la portée et le mécanisme de l'intuition vis-à-vis de la pensée et de la conscience comme l'a fait Bergson, et la critique de Bachelard qui oblique cela sur l'instant... Non la critique de la notion d'essence aux matières de l'être et de la pensée, matières vivantes et agissantes, sortes de machinismes bio-implantées dans l'essence même de l'homme, propre à l'homme et à lui seul, on ne peut pas dire que cela soit une question poussiéreuse.
D'autre part ce que dit Platon dans ce texte s'apparenterait plutôt à ce dont rend compte la neurobiologie, c'est-à-dire le cerveau reptilien. Dire que l'on est dans un instinct qui ne fait de différence avec rien, qui se satisfait et qui agit, il ne s'agit pas du surmoi, car ce n'est pas une construction, et encore moins du ça qui est la chose inconsciente incontrôlable et régie par l'histoire personnelle. De ce fait mettre cela, l'instinct reptilien avec le ça, en parallèle, c'est dire que l'instinct agit dans une seule direction, qui n'a d'autre racine que la volonté éthérée comme la faim, le désir, l'absorption et l'appropriation sans obstacles extérieur (fi du meurtre), alors que le ça aurait bien trop de griefs fragiles à nous proposer...
Non là on est avec Platon pour ce texte dans le pur instinct, celui qui veut sans volonté et qui fait. Ici l'âme ne parle plus, c'est la faim et toute forme de désir intellectuel ou venu de l'estomac qui veut et se satisfait. On est dans le trou noir très conscient de sa volonté. Le ça est plus chaotique.
D'autre part ce que dit Platon dans ce texte s'apparenterait plutôt à ce dont rend compte la neurobiologie, c'est-à-dire le cerveau reptilien. Dire que l'on est dans un instinct qui ne fait de différence avec rien, qui se satisfait et qui agit, il ne s'agit pas du surmoi, car ce n'est pas une construction, et encore moins du ça qui est la chose inconsciente incontrôlable et régie par l'histoire personnelle. De ce fait mettre cela, l'instinct reptilien avec le ça, en parallèle, c'est dire que l'instinct agit dans une seule direction, qui n'a d'autre racine que la volonté éthérée comme la faim, le désir, l'absorption et l'appropriation sans obstacles extérieur (fi du meurtre), alors que le ça aurait bien trop de griefs fragiles à nous proposer...
Non là on est avec Platon pour ce texte dans le pur instinct, celui qui veut sans volonté et qui fait. Ici l'âme ne parle plus, c'est la faim et toute forme de désir intellectuel ou venu de l'estomac qui veut et se satisfait. On est dans le trou noir très conscient de sa volonté. Le ça est plus chaotique.