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descriptionSur l'adéquation d'une idée. EmptySur l'adéquation d'une idée.

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Dans la seconde partie de l'ouvrage de l'Éthique, Spinoza définit l'essence de l'idée d'une chose. Il soutient que l'idée qu'un individu a d'une chose observée contient plus d'information sur l'observateur que sur l'objet observé. Je me demande du coup : comment cette idée peut-elle donc être adéquate ?

J'imagine qu'elle ne devient adéquate qu'une fois débarrassée de la part de soi-même qu'elle contient, mais... Comment en être certain ?

descriptionSur l'adéquation d'une idée. EmptyRe: Sur l'adéquation d'une idée.

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Faites-vous référence à Éthique II, Proposition XVI, Corollaire 2 ?
les idées que nous avons des corps extérieurs marquent bien plus la constitution de notre corps que la nature des corps extérieurs : ce qui a d’ailleurs été expliqué par beaucoup d’exemples dans l’Appendice de la première partie
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