Dans la seconde partie de l'ouvrage de l'Éthique, Spinoza définit l'essence de l'idée d'une chose. Il soutient que l'idée qu'un individu a d'une chose observée contient plus d'information sur l'observateur que sur l'objet observé. Je me demande du coup : comment cette idée peut-elle donc être adéquate ?
J'imagine qu'elle ne devient adéquate qu'une fois débarrassée de la part de soi-même qu'elle contient, mais... Comment en être certain ?
J'imagine qu'elle ne devient adéquate qu'une fois débarrassée de la part de soi-même qu'elle contient, mais... Comment en être certain ?