Il faudra que je prenne plus de temps pour vous répondre, mais dans une première lecture rapide vous tendez à imposer votre vision des choses. Pourquoi pas, mais cela m'oblige à rentrer dans votre monde.
J'essaye de donner des définitions telles que nous pouvons, par convention qui est celle d'accepter le sens qu'il donne aux mots, rentrer dans la pensée de Kant. Kant donne aux mots un sens. Je communie avec le sens qu'il donne pour rentrer dans sa pensée. Mais je peux bien sûr critiquer d'emblée le sens qu'il donne aux mots. Mais à partir de cette attitude je ne peux plus comprendre Kant.
Sije veux comprendre Kant c'est qu'il modifie ma vision du monde, pour moi rencontrer un homme qui me permet de transformer ma vision du monde quel plaisir ! Après je peux aussi le critiquer. Mais je prends ce qu'il me donne, j'apprécie sa générosité. Pour le reste je l'épargne, ses erreurs, s'il y en a, ne m'interessent pas. Seul le don qu'il me fait de sa pensée m'intéresse, c'est déjà beaucoup donner de soi comme il l'a fait.
Idem pour votre critique de la notion d'ensemble. Vous critiquez l'enseignement de la maitrise de maths (puisque je ne parle pas en mon nom mais au nom des enseignants de fac, ceux qui ont rédigé la définition que j'ai donnée ici, avec références). Pourquoi pas mais alors nous ne pouvons plus faire de maths ensemble à moins que je rentre dans votre monde. Ou alors, si votre critique est fondée entrez en communication avec les chercheurs en mathématiques, ce sera plus profitable pour vous. Ici je ne me vois pas rentrer dans la théorie des ensembles. Cette théorie est complexe et nécessite le recours à des connaissances très pointues.
Les mathématiques posent des définitions qui sont des conventions acceptées par tous (par tous les mathématiciens). Nous pouvons contester ces définitions mais nous ne pouvons plus alors correspondre ensemble. Sauf si je me soumets et que je rentre dans votre monde.
Vous êtes en recherche d'affirmation de vous. C'est sympathique mais nous ne sommes plus dans un débat objectif, ou qui tente de l'être, nous sommes dans un débat psychologique dans lequel vous me demandez une totale abnégation, une totale générosité d'attention à vous.
Pourquoi pas !
J'essaye de donner des définitions telles que nous pouvons, par convention qui est celle d'accepter le sens qu'il donne aux mots, rentrer dans la pensée de Kant. Kant donne aux mots un sens. Je communie avec le sens qu'il donne pour rentrer dans sa pensée. Mais je peux bien sûr critiquer d'emblée le sens qu'il donne aux mots. Mais à partir de cette attitude je ne peux plus comprendre Kant.
Sije veux comprendre Kant c'est qu'il modifie ma vision du monde, pour moi rencontrer un homme qui me permet de transformer ma vision du monde quel plaisir ! Après je peux aussi le critiquer. Mais je prends ce qu'il me donne, j'apprécie sa générosité. Pour le reste je l'épargne, ses erreurs, s'il y en a, ne m'interessent pas. Seul le don qu'il me fait de sa pensée m'intéresse, c'est déjà beaucoup donner de soi comme il l'a fait.
Idem pour votre critique de la notion d'ensemble. Vous critiquez l'enseignement de la maitrise de maths (puisque je ne parle pas en mon nom mais au nom des enseignants de fac, ceux qui ont rédigé la définition que j'ai donnée ici, avec références). Pourquoi pas mais alors nous ne pouvons plus faire de maths ensemble à moins que je rentre dans votre monde. Ou alors, si votre critique est fondée entrez en communication avec les chercheurs en mathématiques, ce sera plus profitable pour vous. Ici je ne me vois pas rentrer dans la théorie des ensembles. Cette théorie est complexe et nécessite le recours à des connaissances très pointues.
Les mathématiques posent des définitions qui sont des conventions acceptées par tous (par tous les mathématiciens). Nous pouvons contester ces définitions mais nous ne pouvons plus alors correspondre ensemble. Sauf si je me soumets et que je rentre dans votre monde.
Vous êtes en recherche d'affirmation de vous. C'est sympathique mais nous ne sommes plus dans un débat objectif, ou qui tente de l'être, nous sommes dans un débat psychologique dans lequel vous me demandez une totale abnégation, une totale générosité d'attention à vous.
Pourquoi pas !